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Les réseaux sociaux sont ils dangereux pour les jeunes ?

16 mars 2015

Article : Terrafemina

Auteur : Enquête menée par Unicef France.

Source : http://www.terrafemina.com/societe/societe/articles/48942-lunicef-pointe-les-dangers-des-reseaux-sociaux-et-le-grand-malaise-des-adolescents-francais.html

Résumé : Les jeunes privés de réseaux sociaux réagissent mal.

 

L'Unicef pointe les dangers des réseaux sociaux et le "grand malaise" des adolescents français.

Une enquête du Fonds des Nations unies pour l'enfance remise, mardi 23 septembre, au gouvernement indique que la « souffrance psychologique » touche près d'un adolescent sur deux de plus de 15 ans en France. Unicef France met notamment en garde sur les dangers des réseaux sociaux.

La "souffrance psychologiqu" toucherait près de la moitié (43%) des adolescents français âgés de plus de 15 ans. Telle est la principale conclusion d'une enquête conduite par Unicef France remise ce mardi aux secrétaires d'Etat à la Famille, Laurence Rossignol et à la Lutte contre l'exclusion, Ségolène Neuville.

Plus de 42% en situation de privations confient avoir pensé au suicide

L'étude baptisée "écoutons ce que les enfants ont à nous dire", a été menée, pour la deuxième année consécutive, de mars à mai 2014 auprès de 11.232 jeunes âgés de 6 à 18 ans. Les inégalités, notamment matérielles, augmentent les difficultés d'intégration de certains jeunes. « Un peu plus de 17% des enfants et adolescents consultés sont en situation de privation matérielle », souligne l'enquête.

Un taux qui grimpe à 25% chez les plus de 15 ans. « Ce que nous disent les enfants et les adolescents à travers la consultation confirme que vivre en situation de privation constitue pour eux un facteur de risque de vivre en même temps des expériences de difficultés d’intégration, dans toutes ses dimensions (famille,  école, quartier, collectivité) », explique le rapport. Une population confrontée aux tensions familiales, à l'échec scolaire et aux idées noires. Conséquence : « Plus de 42% en situation de privations confient avoir pensé au suicide ».

 

Réseaux sociaux, domination et identités « menacées »

Les réseaux sociaux sont également dans le collimateur de l'enquête. Unicef France met en garde contre les risques de harcèlement qui pèsent sur les adolescents. Et Serge Paugam, sociologue et directeur de recherches à l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales de prévenir, sur France Info : « Les adolescents harcelés sur les réseaux sociaux ont trois fois plus de risques de faire une tentative de suicide que les autres ». Le chercheur pointe notamment « les jeux de pouvoir, de hiérarchie », inhérents à ces réseaux. Face à ces « formes de domination », des adolescents peuvent se sentir « menacés dans leur identité », n'arrivant pas « à se construire », conclut-il.

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9 mars 2015

Article : Huffington post

Auteur : Matthieu Carlier

Source : http://www.huffingtonpost.fr/2013/06/04/reseaux-sociaux-1-jeune-sur-10-se-serait-vu-refuser-un-emploi-a-cause-de-son-profil_n_3382626.html

Résumé : La vie professionnelle et les réseaux sociaux.

 

Réseaux sociaux: 1 jeune sur 10 se serait vu refuser un emploi à cause de sa présence en ligne

Les réseaux sociaux ne sont pas toujours les amis des jeunes, surtout pas dans le monde du travail. C'est en tout cas ce que l'on pourrait déduire de la lecture de cette étude internationale de l'institut américain On Device Research, qui porte sur la confiance des nouvelles générations quant à leur avenir professionnel.

6000 jeunes de 16 à 34 ans de six pays développés ou en voie de développement y ont participé (Royaume-Uni, Etats-Unis, Nigéria, Inde, Brésil et Chine) avec un constat pour le moins effrayant: environ 10% d'entre eux se seraient vus refuser un emploi à cause de leur profil sur un réseau social, que ce soit pour une photo compromettante, des blagues salaces, des "likes" mal placés ou autres.

Chez nos voisins britanniques par exemple, 9% des sondés se sont ainsi déclarés pénalisés en raison de contenu les concernant sur les réseaux sociaux.

Les résultats globaux de l'enquête:

réseaux sociaux

On le voit, la Chine et l'Inde sont les plus concernées par ces cas d'entretiens d’embauche infructueux (respectivement 16 et 10% chez les 16-24 ans). Des chiffres qui, selon On Device Research, seraient dus à un manque de campagnes de prévention ou de couvertures médiatiques des dangers des réseaux sociaux sur la vie privée et professionnelle.

Pourtant, les jeunes sont confiants

Malgré ces résultats plutôt inquiétants, les deux tiers des 16-34 ans interrogés ont déclaré ne pas considérer les réseaux sociaux comme un danger pour leur futur professionnel. Plus préoccupant: à la question "la possibilité que les réseaux sociaux puissent avoir un impact négatif sur votre carrière vous ferait-elle renoncer à les utiliser?", ils sont 70% à avoir répondu non.

Une autre étape de l'étude montre elle que les jeunes utilisateurs de réseaux sociaux sont plus enclins à soigner leurs profiles pour plaire à leurs amis que pour attirer les employeurs, surtout dans les pays émergent ou en voie de développement.

En mars 2013, une étude avait déjà révélé que l'écrasante majorité des jeunes Français (81%) se connectent à Facebook à longueur de journée, chez eux comme au travail. Un chiffre en constante évolution ces dernières années.

Par ailleurs, 50% d'entre eux vont jusqu'à considérer les réseaux sociaux comme de véritables outils de travail. Pour les auteurs de l'étude, une chose est sûre: "Difficile pour la génération Y (les jeunes nés dans les années 80-90) de définir où commence la vie professionnelle et où s'arrête le cadre privé."

9 mars 2015

Article : 20 minutes

Auteur : Delphine Bancaud

Source : http://www.20minutes.fr/societe/753091-20110705-reseaux-sociaux-vrai-danger-plus-jeunes

Résumé : Les jeunes imprudents et non surveillés par leurs parents sur les réseaux sociaux.

Les réseaux sociaux, un vrai danger pour les plus jeunes

Des espaces de convivialité qui ne sont pourtant pas sans danger. Une étude parue lundi et réalisée pour l'Union nationale des associations familiales (Unaf), la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) et l'association Action innocence, pointe les risques des réseaux sociaux pour les ados.

Selon celle-ci, 48% des 8-17 ans indiquent avoir un compte sur Facebook. Problème: alors que le célèbre réseaux est en principe interdit aux moins de 13 ans, 18% d'entre eux s'y connectent, dont 9 % avec l'accord de leurs parents. Une statistique préoccupante pour Isabelle Falque, vice-présidente de la Cnil «car cette tranche d'âge est candide et donc plus exposée».

Le manque de vigilance souligné

Autre sujet de préoccupation: les comportements addictifs des jeunes à l'égard de Facebook. Car 59% d'entre eux déclarent s'y connecter tous les jours et seulement 23% des parents limitent leur durée de connexion.

Difficile aussi pour les adolescents de ne pas trop exposer leur vie privée sur les réseaux. Nombre d'entre eux n'hésitent pas à dévoiler des photos d'eux (88%) sur leur profil, leur adresse mail (68%), s'ils sont célibataires ou non (58%), leur adresse postale (27%). Une impudeur d'autant plus préjudiciable qu'un ado compte en moyenne 210 amis sur Facebook et que 31% des sondés avouent avoir accepté dans leurs contacts des personnes qu'ils n'avaient jamais rencontrées.

Et plus leur réseau est étendu, plus les risques d'incivilité sont importants. Du coup, 25% des jeunes utilisateurs de Facebook avouent avoir été victimes d'insultes et de rumeurs. Autre dérive constatée: plus d'un tiers des jeunes ont déjà été choqués par des propos, des photos et des vidéos publiés sur le réseau.

«D'où l'importance pour les parents de ne pas attendre ce genre de mésaventure pour s'intéresser aux usages de leurs enfants, car seulement la moitié d'entre eux les surveillent», souligne Elisabeth Sahel, présidente d'Action innocence.

 

 

 

16 février 2015

Article : sciences humaines

Réseaux sociaux sur internet : danger ou bienfait ?

 

"Dépression Facebook", suicide d'adolescents harcelés sur la Toile, images compromettantes à portée de tous... Les cris d'alarme poussés contre les réseaux sociaux sont à la hauteur de leur succès fulgurant. De tels sites ont-ils vraiment des effets pervers, particulièrement pour les plus jeunes ? Qu'en disent les psychologues ? Le point sur les études récentes.

 

Dans un contexte d’évolution technologique et de virtualisation des échanges, les années 2000 ont vu l’émergence des réseaux sociaux via internet : Facebook, MySpace, Twitter, Viadéo, Copains d’avant... Ces sites permettent de développer et d’entretenir son réseau social, une fois un profil d’utilisateur créé. La force de certains d’entre eux est de regrouper des réseaux distincts dans la « vraie » vie (copains d’école, connaissances professionnelles, famille…), tout en donnant également accès à de nombreuses communautés virtuelles. Sur Facebook en particulier, il est possible de partager ses commentaires et d’échanger avec ses « amis », mais aussi de rejoindre une foultitude de groupes selon ses intérêts (musique, sports, affinités politiques…), de créer des événements ou encore de jouer en ligne. Une véritable vie sociale « online » est possible à partir d’un seul site qui dépasse actuellement les 500 millions d’utilisateurs (17 millions en France), et dégage un chiffre d’affaires annuel de plus de 150 millions de dollars ! MySpace regroupe quant à lui plus de 300 millions de membres. Ce succès impressionnant des réseaux sociaux sur internet interroge de plus en plus psychologues et sociologues. Comment expliquer cet engouement, particulièrement marqué chez les jeunes (22% des ados loggent plus de 10 fois par jour sur leur site préféré) ? Quels bénéfices retire-t-on à surfer sur ces sites ? Ces réseaux remplacent-ils ou complètent-ils les activités sociales traditionnelles ? Peuvent-ils devenir dangereux ? La « dépression Facebook » dont certains pédiatres parlent est-elle à prendre au sérieux ?

Sentiment d’appartenance, exutoire et support social

Les réseaux sociaux en ligne offrent la possibilité de multiplier les échanges, de préserver, voire renforcer, certains liens. La distance géographique n’est plus un problème et des relations solides peuvent être entretenues à distance. Dans une société individualiste, mondialisée, où l’on perd ses racines, les réseaux sociaux permettent donc de renforcer un sentiment d’appartenance à un/des groupe(s), de se « ré-enraciner » au sein d’une communauté. Ils participent à la construction d’une identité sociale. En ce sens, ils peuvent être bénéfiques au développement et à la socialisation des adolescents.

Les réseaux sociaux, et internet en général, permettent également de réduire le stress et l’anxiété liés aux contrariétés du quotidien. Nombreux sont les jeunes qui se servent d’internet comme exutoire aux problèmes familiaux, aux échecs scolaires et aux autres difficultés rencontrées. Dans les relations en ligne, ils trouvent également un appui affectif d’un genre nouveau. La reconnaissance et les encouragements qu’on leur témoigne peuvent augmenter leur confiance en eux et certains n’hésitent pas à parler de vertus thérapeutiques. Les personnes introverties, notamment, trouveraient un intérêt certain dans les réseaux sociaux virtuels. Le plus grand anonymat et la moindre importance accordée au physique (chacun est caché derrière son ordinateur), ainsi que le plus grand contrôle que l’on a de la fréquence et de la durée des échanges, peuvent rassurer les plus timides. Une étude met en évidence l’effet positif de l’utilisation de Facebook par les personnes réservées : leurs relations sociales, renforcées grâce au site, sont de meilleure qualité et plus satisfaisantes.

Un terrain favorable aux dérives

Récemment, un collectif de pédiatres américains a lancé le terme de « dépression Facebook ». Il fait référence aux ados passant beaucoup de temps sur les réseaux sociaux et présentant des symptômes classiques de la dépression. La « dépression Facebook » augmenterait le risque d’être socialement isolé, d’avoir recours aux drogues, de montrer des comportements agressifs ou de se lancer dans des pratiques sexuelles dangereuses. Cependant, seule une corrélation a été mise en évidence, et rien ne prouve que ce soit l’utilisation excessive de Facebook qui mène à la dépression. L’inverse peut tout aussi être vrai : le mal-être adolescent amène à se réfugier dans les relations virtuelles. La seule certitude à l’heure actuelle est qu’un usage exagéré des réseaux sociaux sur internet peut être un signal de tendances dépressives.

Autre phénomène : dans le Massachusetts, une jeune fille de 15 ans s’est suicidée après avoir été harcelée par des élèves de son école via Facebook (cyberbulling). Internet permet à l’enfant harceleur de s’en prendre à sa victime en dehors du cadre scolaire, et parfois même anonymement. Le harcèlement n’est pas propre aux réseaux sociaux, mais il y trouve un terrain favorable. Les pédiatres américains évoquent également le sexting : des photos ou des vidéos intimes circulent sur les sites ou par téléphone portable sans que l’accord de la personne concernée, et souvent sans que ceux qui reçoivent ces images ne l’aient voulu. Là aussi, des suicides d’adolescentes ont eu lieu en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis. Le manque de contrôle des informations et des images diffusées rend les adolescents vulnérables. Sans aller jusqu’à ces cas extrêmes, 7 % des inscrits déclarent recevoir régulièrement ou ponctuellement des commentaires désagréables sur leur profil. De plus, les images idéales qui envahissent les sites (gens heureux ayant des centaines d’amis) peuvent donner l’impression à certains de ne pas être à la hauteur. Cette vision biaisée s’avère douloureuse pour des personnes qui ont peu d’amis et d’activités sociales. Les réseaux sociaux peuvent donc avoir un impact négatif sur l’estime et le bien-être des utilisateurs.

Un outil aux effets amplificateurs

Une vision manichéenne et simpliste est impossible. Tout comme le téléphone ou la télévision, internet et les réseaux sociaux ne sont que des outils, et peuvent aboutir au pire ou au meilleur selon le contexte et l’utilisation qui en est faite. Etre connecté à ses amis et sa famille, partager des photos et des idées, renforce le sentiment d’appartenance chez des enfants bien adaptés. Pour eux, internet est un moyen supplémentaire d’échanger avec les siens, une manière de renfoncer les liens. Voir les concours de popularité de certains (essayer d’avoir le maximum d’amis et de photos marquées) et recevoir des commentaires désagréables, déprime davantage encore les jeunes fragiles psychologiquement et/ou souffrant de solitude. Les réseaux sociaux sembleraient donc amplifier les phénomènes existants. Quoiqu’il en soit, la vie sociale, même si elle peut être entretenue via les réseaux sociaux en ligne, se construit toujours et encore à travers les relations réelles. Le contact en personne est dans presque tous les cas indispensable au développement d’amitiés sincères. Bien que le nombre de contacts en ligne puisse être énorme, le nombre d’amis proches est équivalent sur internet et dans le monde réel. Dans les années 90, un individu comptait en moyenne 5 amis proches. Ceci reste d’actualité.

Au final, les réseaux sociaux « online » constituent simplement un lieu d’interactions qui s’ajoute aux canaux conventionnels de communication : ils ne se créent pas au détriment des réseaux de proximité traditionnels existants. D’ailleurs, ils auraient plutôt tendance à découler des évolutions sociétales (affaiblissement des liens, transformation de la notion de groupe, horizontalisation et informalisation des relations), qu’à les précéder.

Source : Sciences Humaines, Le cercle psy.

Auteur : Lisa Friedmann

Résumé : Le pour et le contre des réseaux sociaux

2 février 2015

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Description : Un pseudo peut cacher n'importe qui, soyez vigilants sur internet.

Source : http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fblog.economie-numerique.net%2Fwp-content%2Fuploads%2F2012%2F04%2F7.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fblog.economie-numerique.net%2F2012%2F05%2F27%2Fles-dangers-des-reseaux-sociaux%2F&h=221&w=228&tbnid=ylwC5GmFrJkMpM%3A&zoom=1&docid=f46B3Cm_QTSX2M&ei=NwjiVIbiM87Wau73AQ&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=1409&page=1&start=0&ndsp=25&ved=0CEAQrQMwCg

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17 novembre 2014

Définition : Dangers réseaux sociaux

Définition : Un réseau social désigne un ensemble de personnes réunies par un lien social. À la fin des années 1990, des réseaux sociaux sont apparus sur Internet, réunissant des personnes via des services d’échanges personnalisés, chacun pouvant décider de lire les messages de tel ou tel autre utilisateur.

Sources : http://www.futura-sciences.com/magazines/high-tech/infos/dico/d/informatique-reseau-social-10255/

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Les réseaux sociaux sont ils dangereux pour les jeunes ?
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